Bella vita

Pas envie de me plaindre.  Et pourtant... Mais non.  Après ces journées assez difficile, suivies d'autres plus difficiles, au vu desquelles je me demande quand je vais finir de tomber et commencer à remonter, j'ai dis stop.
Ce soir, en préparant le repas, j'ai mis le halte là : stop à l'étau qui m'enserre la tête depuis des semaines, stop à ces angoisses pour l'avenir, stop au prise de tête sur le passé, stop à ce noeud à l'estomac, stop aux question sur A... Stop.
La séparation provisoire de trois mois passe à six mois, puis à une durée indéterminée.  L'ivresse de la liberté est devenue une énorme angoisse, une grosse envie que A. revienne.  Mais cette envie diurne est suivie de rêves où A. revient à la maison et c'est l'horreur. Le jour je le veux, la nuit je ne le veux plus ?!
Je veux de l'air.  Je veux respirer.
Plus encore depuis cette pensée qui m'a traversé l'esprit en retournant le poulet à mi-cuisson : de toute façon, ma vie sera belle, quoi qu'il arrive...
Ben oui, je m'accroche.
Et que celui ou celle qui n'a jamais eu besoin de se raconter de gros bobards pour se donner une raison de se lever le matin me jette la première pierre ! ;o)

Comments

[val]

Courage à toi chère Confidences... continue de bien prendre soin de toi
des bises